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Le
meunier doit orienter les ailes face au vent : il se sert du treuil (16) qui lui
permet de faire pivoter le toit grâce à la queue. |
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Charpente du moulin et système de
transmission du mouvement. |
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Toute la calotte
glisse bois sur bois sur le chemin du roulement (17), sans difficulté, car ce
dernier est enduit de graisse. |
Sous l'effet du
vent, les ailes (1) entraînent le rouet (3) par l'intermédiaire de l'arbre
(2). |
Le rouet fait
tourner la lanterne (6) qui transmet le mouvement à la meule tournante (8)
grâce au gros fer (7). |
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Le meunier peut
facilement arrêter son moulin en actionnant le frein (4) qui entoure le rouet. Il
règle la puissance et la vitesse de rotation en déroulant plus ou moins de toile sur les
ailes. |
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Réglage du
débit du grain. |
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Il intervient
également sur la finesse de sa farine en écartant plus ou moins les meules grâce au
système de levier (13), ou en introduisant plus ou moins de blé entre les meules
: le canard en bois situé devant la trémie est prévu à cet effet. Il permet de régler
la hauteur du petit cheval (auget) qui bouche plus ou moins la sortie du grain de la
trémie. |